mercredi 3 mars 2010

Nouvelles d'ici et d'Ailleurs 03.03.2010

Nouvelles d’ici

Exposition « Quel Avenir pour les Garrigues? », à l'ENACT (Place de la Révolution Quartier Richter) organisé par Manuel IBANEZ de l'Association des Ecologistes de l'Euzière. Prochainement vous sera proposé une fiche de synthèse de l’Atelier qui a eu lieu le lundi 1 Mars 2010.

Un bureau élargi de l’APULR a eu lieu le jeudi 25 Février 2010. Vous trouverez le compte rendu sur le site Internet de l'Asso: http://www.apulr.fr/

Le 1 Avril 2010 : Assemblée Générale de l’APUMP à Toulouse + Débat sur l’organisation du CFDU avec Monsieur Cuillier. Si cela vous intéresse de participer merci de nous le faire savoir afin que nous puissions organiser le transport jusqu’à Toulouse avec Fabien Blasco, Brigitte Lafourcade, Eugène Gréau et Christine Torres.

Appel à cotisation : Vous trouverez sur le site Internet l’Appel à cotisation pour 2010. Vous pouvez les envoyer à la nouvelle adresse de l’Association : 22, avenue Jean Mermoz 34470 Pérols.

Nouvelles d’ailleurs

France Inter. Service public. Emission Eco quartiers, logements basse conso : les techniques sont elles au point, accessibles à tous. Vous pouvez écouter l’émission sur le lien suivant : http://sites.radiofrance.fr/franceinter/em/servicepublic/

Télérama : Article et enquête Comment la France est devenue moche. Vous pouvez consulter l’article sur le lien suivant : http://www.telerama.fr/monde/comment-la-france-est-devenue-moche,52457.php

Localtis : Dossier d'actualité consacré au Grenelle 2 et espace thématique consacré aux fonds structurels. Vous pouvez consulter ces documents sur le lien suivant :
http://cdcv4-s.neolane.net/nl/jsp/m.jsp?c=e61ac51851f727190c

ESAM : L’école nationale supérieure d’architecture de Montpellier organise une journée portes ouvertes, samedi prochain, 6 mars, de 11h à 17h. Le film Montpellier, école d’archi est désormais en ligne sur le site Internet http://www.montpellier.archi.fr/

lundi 21 décembre 2009

Le 26 Janvier 2010- "Les friches à l'affiche. Fabriques de la ville"

Atelier sur « Les friches à l’affiche. Fabriques de la ville », le 26 Janvier 2010 à 18h30 à l'ENACT Place de la Révolution Quartier Richter exposé par Didier Doulson chef de projet au Service Urbanisme sur le projet de reconversion de la friche Hoche Sernam à Nîmes, et par Bertrand Sautré chef de projet à la Direction Aménagement et Programmation sur le projet de reconversion de la friche de l'EAI à Montpellier

jeudi 10 décembre 2009

APULR- Nouvelles d’ici et d’ailleurs


Nouvelles d’ici

Lundi 7 Décembre 2009 a eu lieu l’Assemblée générale de l’APULR. Un nouveau bureau a été désigné dont le Président est Nicolas Lebunetel, le Vice Président : Eugène Gréau, le Trésorier : Fabien Blasco, la secrétaire Générale : Fanny Delafont Abinal.

Ont été également élus des responsables de projets de représentation diverses : Florence Chibaudel, Daphné De Féligonde, Sadik Farabi, Jean Pialoux, Philippe Jouvin, Brigitte Lafourcade, Alain Marie Lemarie, Christine Torres, Jean Pierre Silvent.

Vous recevrez prochainement le compte rendu de l’Assemblée Générale. Il sera également téléchargeable sur le site de l’APULR
www.apulr.fr dans la rubrique « Activité ».

Cotisation : C’est le bon moment pour cotiser ! Rappel des tarifs : Plein tarif : 50 euros. Urbaniste territorial : 30 euros. Créateur et junior : 30 euros. Etudiants et chômeurs : 10 euros.


Site Internet et Blog de l’Association : Vous pouvez prendre connaissance de l’actualité de l’Association à travers son site Internet
www.apulr.fr et son Blog www.apulr.blogspot.com


Nouvelles d’ailleurs

La lettre d’information du comité interministériel des villes : ACTUALITÉ : Le rapport 2009 de l’Onzus est paru. 20 millions d’euros débloqués pour l’insertion professionnelle et l’excellence. 250 millions d’euros supplémentaires pour les Internats d’excellence. Xavier Darcos et Fadela Amara visitent deux quartiers Anru à Garges-lès-Gonesse. La gestion urbaine de proximité au programme des Rencontres de la Ville. Le premier Comité interministériel à l’égalité des chances s’est tenu à Matignon. 15ème anniversaire du Centre international pour la prévention de la criminalité, à Montréal. Des grandes entreprises qui s’adressent aux habitants des banlieues. Essonne : 2eme convention « Réussir en banlieue ». Quand les arts de la rue se mêlent de politique de la ville "Comment parler autrement des banlieues ?", aux éditions du CIV.

Vous retrouverez tous les articles et agenda sur le lien suivant :
http://www.ville.gouv.fr/article.php3?id_article=228

Localtis Info. La lettre : Dans ce dossier tous les articles sur la réforme territoriale et la suppression de la TP.

Vous retrouverez tous les articles et agenda sur le lien suivant :
http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/Page/Evenement&pfid=1250259078919

Conférence CAUE 30 : Xavier LEIBAR, architecte, Bayonne (Agence Leibar/Seigneurin), architecte-conseil de l'État, enseignant à l'Ecole Supérieure d'Architecture de Bordeaux. “De modernité et d'ici”. Lycée Daudet - Salle Terrisse- 3 bd Victor Hugo - 30000 Nîmes

mardi 1 décembre 2009

Bureau élargi du 30 Novembre 2009

Ordre du jour: Préparation de l'Assemblée Générale et du Conseil d'Administration du 7 Décembre 2009. Renouvellement du bureau
Les points qui ont été évoqués: Dynamisme nécessaire de l'Association à relancer / Partenariat: Etre présent dans les instances où l’association est représentée et participer à l’avancée de leurs réflexions : Conseils d’ Administration des C.A.U.E., Conseil Français Des Urbanistes, APIEU, Syndicat des SCOT du Languedoc-Roussillon, Maison de l’Architecture, Commissions Départementales ou Régionales. Développer le relationnel et être présent dans les manifestations organisées par : L’ordre des Architectes Languedoc Roussillon, Les Directions Départementales de l’Equipement et la Direction Régionale, La Région Languedoc-Roussillon, Les Conseils Généraux , L’Université Paul Valéry, L’école d’Architecture de Montpellier./ Identification de l'Association à l'extérieur / Solliciter Perpignan / Développer la communication / Stratégie d'ouverture : Développer la communication externe de l’Association au niveau régional avec : les professionnels, les collectivités, les donneurs d'ordre et les maîtres d'ouvrage, les écoles et instituts de formation, Dans ce but, constituer cette année un annuaire « Urbanisme » du Languedoc Roussillon. Développer la communication externe au niveau national avec : le Conseil Français Des Urbanistes, l’Office Public de Qualification des Urbanistes, les associations membres du C.F.D.U.,- les instances nationales dans le domaine de l’urbanisme (DGUHC, PUCA….)

jeudi 5 novembre 2009

Communiqué du CFDU - Novembre 2009

Le Conseil français des urbanistes communique

Vous avez dit « urbaniste territorial » ?

Le Centre national de la fonction publique territoriale a organisé les 8 et 9 octobre un colloque sur le thème « Quelles compétences des urbanistes territoriaux pour quels projets ? ». Rassemblant des cadres de la fonction publique territoriale et des professionnels d’autres modes d’exercice, cette manifestation avait pour but de fournir des orientations au CNFPT pour qu’il adapte ses programmes de formation à l’évolution du contexte politique et institutionnel des collectivités territoriales. Une question, en apparence accessoire, figurait au programme : « Quel statut des urbanistes des collectivités ? ». Le débat a révélé qu’elle était centrale, au moment où de la qualification des professionnels de l’urbanisme et de leur accueil dans les communes et établissements publics locaux, dépendait pour une large part la réussite des nouvelles politiques publiques (1). Présents à ce colloque, des représentants du Conseil français des urbanistes (CFDU), et des animateurs du Collectif national de jeunes urbanistes (CNJU) sont intervenus sur ce problème récurrent : l’insertion des professionnels de l’urbanisme dans les collectivités territoriales à un niveau et dans des conditions en adéquation avec leur formation et les responsabilités qui leur sont (ou seront) confiées.
Conscientes que cette question dépasse les débats « corporatistes » autour de statuts particuliers et concerne l’ensemble de la profession, les associations fédérées au sein du Conseil français des urbanistes sont appelées à prendre position, comme l’a déjà fait la Société française des urbanistes .


Un problème récurrent

La loi de décentralisation de 1983 a transféré aux communes la responsabilité de la conception et de la mise en œuvre des politiques d’urbanisme auparavant conduites par les services de l’Etat. Pour prendre en charge cette nouvelle compétence, on pouvait penser qu’elles allaient accueillir une partie des jeunes professionnels formés et diplômés par les instituts d’urbanisme. Ce fut le cas pendant les années qui ont suivi, des dispositions transitoires ayant facilité leur intégration (2). Censées préfigurer des dispositions statutaires spécifiques, elles ont cessé de s’appliquer à compter de la publication de décrets relatifs aux concours « d’ingénieurs » qui ne s’en sont inspirés d’aucune manière.

A compter de ce moment, malgré les insuffisances de ce dispositif d’accès peu adapté à la spécificité des formations, un certain nombre de diplômés a pu franchir la barrière du concours. L’observation de leurs itinéraires professionnels et de leurs profils de postes montre l’émergence d’un « métier » d’« urbaniste territorial » au sein de la fonction publique. Il est d’ailleurs reconnu depuis plus de dix ans par le « Référentiel des métiers » du CNFPT. Or, depuis le début de l’année, les diplômés des instituts d’urbanisme et de formations supérieures en aménagement du territoire ont vu leur demande d’inscription au concours d’ingénieur de la fonction publique territoriale systématiquement refusée dès lors qu’ils ne justifiaient pas, en plus, de diplômes d’ingénieur, d’architecte ou de géomètre-expert (3).


Le nouveau concours : une « épuration technique » ?

Que s’est il passé ? Il semble que la transposition de la législation européenne protégeant le titre d’ingénieur ait incité l’administration française à amalgamer le « métier » d’ingénieur avec le grade statutaire « ingénieur territorial », dont le concours d’accès ne comporte l’urbanisme que comme une sous-spécialité. Alors qu’une certaine souplesse avait jusqu’alors prévalu, la Commission d’équivalence des diplômes mise en place auprès du CNFPT n’a pu alors que rejeter les candidatures des titulaires de diplômés en urbanisme qui ne justifiaient pas, par ailleurs, de diplômes d’ingénieur, d’architecte ou de géomètre-expert réputés correspondre aux « formations scientifiques et techniques ».


Ainsi, l’accès aux postes d’encadrement de la fonction publique territoriale est désormais quasi-impossible pour la majorité des diplômés de l’enseignement supérieur en urbanisme; Avec, à terme, une situation paradoxale où les directions de services spécialisés seraient confiées à des « ingénieurs » pour lesquels aucune exigence de formation en urbanisme ne serait requise par le dispositif statutaire.


Quelles solutions ?

Devant cette situation, on nous objecte que les diplômés des instituts d’urbanisme dont la candidature au concours d’ingénieur territorial a été rejetée n’ont qu’à se présenter au concours d’attaché. Certes, il n’est pas déshonorant d’être « attaché territorial», mais ce grade correspond à un niveau de recrutement à bac + 3 et non à bac + 5, même si en période de crise certains candidats sont d’un niveau supérieur. En outre, il n’est adapté qu’aux juristes de l’urbanisme en charge de l’application du droit des sols.

Cette situation discriminatoire doit cesser. Dans l’intitulé de son colloque, le CNFPT parle des « urbanistes territoriaux ». Cette catégorie de fait, qui n’est toujours pas reconnue en droit, mérite la même reconnaissance que les « ingénieurs ». L’incertitude sur les qualifications étant à présent levée (4), elle doit désormais être jugée, évaluée et recrutée sur des critères professionnels adéquats.

Doit cesser également l’offense permanente faite aux Instituts d’urbanisme par un statut qui ne reconnaît pas le niveau des formations qu’ils dispensent et donc leur utilité au service des politiques publiques.

Devant l’incompréhension soulevée, les jeunes diplômés et les étudiants en fin de cursus se sont rassemblés pour faire part de leur indignation exprimée par le CNJU. Autant que les formateurs, la profession tout entière doit leur apporter son appui et solliciter celui des associations d’élus locaux.

Pour sa part, le Conseil d’administration du Conseil français des urbanistes, avec l’ensemble des associations fédérées en son sein, en liaison avec l’Office professionnel de qualification des urbanistes (OPQU), met en place dès à présent une commission permanente en vue d’apporter son concours au Conseil supérieur de la fonction publique territoriale, au ministère de l’Intérieur, et au CNFPT pour rechercher des solutions satisfaisantes à cette situation.

Le Conseil français des urbanistes, au nom de l’ensemble de la profession dont les associations sont fédérées au sein du CFDU, invite les pouvoirs publics à prendre en considération les propositions présentées en ces termes par son président Francis Cuillier lors du colloque du CNFPT le 8 octobre 2009 :

Mise en place d’un « moratoire » suspendant temporairement les dispositions faisant obstacle à la candidature des diplômés en urbanisme lors des prochains concours d’ingénieur territorial et d’ingénieur en chef.
Évaluation des besoins actuels et à moyen terme en nombre de cadres formés.
Mise à l’étude d’un dispositif spécifique d’accès à la fonction publique territoriale reconnaissant en qualification et en niveau les formations dispensées par les Instituts d’urbanisme.


(1) : Projet de réforme des intercommunalités, Grenelle de l’Environnement …).
(2) : Circulaire DGCL du 31 janvier 1984 relative aux emplois spécifiques.
(3) : Dont ceux réunis au sein de l’APERAU dont les formations sont évaluées par l’OPQU.
(4) : Le métier d’urbaniste - Domaines d’activités, fonctions et compétences, Office professionnel de qualification des urbanistes, in « Le Moniteur », 29 décembre 2006.

mardi 3 novembre 2009

SOIREE DEBAT APULR - Lundi 16 Novembre 2009 18h30 - Amphithéâtre de l’ENACT

Les énergies renouvelables en Languedoc-Roussillon

Enjeux économiques, environnementaux, paysagers et fonciers
Le développement des énergies renouvelables est une priorité au niveau international et local. Les collectivités territoriales sont fortement sollicitées pour la création de parcs éoliens, de fermes photovoltaïques qui provoquent parfois de fortes oppositions. Il est important que ces projets s’insèrent dans une démarche globale au niveau d’un territoire et qu’ils fassent l’objet d’études détaillées.
Pour dresser un état des lieux de la question en Languedoc-Roussillon, l’APULR vous propose donc une soirée-débat animée par Jean-Pierre FAYE, chargé de mission « Cohérence Territoriale et Développement Durable » pour le CNFPT avec pour invités :
- Thierry LAFFONT, Directeur-Adjoint de l’ADEME Languedoc-Roussillon
- Michel POIRET, Directeur de l’Environnement, Conseil Régional Languedoc-Roussillon

lundi 2 novembre 2009

Différentes invitations

Voici différentes invitations:

- Le 15 Novembre 2009: 9ème Forum de l'habitat groupé.
- Le 19 Novembre 2009: Ville accessible à tous: Comment concilier sécurité et accessibilité dans la cité?
- Le 25 Novembre 2009: Programme de l'AMO à Marseille.
- Programme des conférences organisées par la CAUE 30.